Mini-avis ~ lectures d'été
Bonjour,
Je vous présente quelques rapides avis sur certaines lectures d'été. Ce sont des lectures variées, ça peut aller d'une super lecture à un avis négatif, mais tous ne présentent pas forcément de points me permettant de réaliser des chroniques plus poussées. Soit parce qu'il y a peu à dire ou que j'ai déjà soulevé les très bons points lors d'articles précédent, ce qui est le cas d'Endgame par exemple !
Je vous laisse faire de bonnes découvertes ou me faire part de vos avis si vous les avez lu ou pas, à très vite dans les commentaires !
AU SOMMAIRE
Mystic City de Theo Lawrence
Endgame, missions - l'intégrale de James Frey
Fahrenheit 451 de Ray Bradbry
Le cercle littéraire des amateurs d'épluchures de patates de Mary Ann Shaffer et Annie Barrows
Mystic City de Theo LAWRENCE
PKJ — 2014 — 414 pages — 18€50
Aria Rose, la plus jeune héritière d’une des deux plus puissantes familles rivales de Mystic City, se retrouve promise à Thomas Foster, le fils des pires ennemis de ses parents. Leur union est sensée mettre fin à des décennies de vendetta politique, et réunir les habitants des Aeries, la classe dominante de la ville, contre les Mystiques bannis qui errent et fomentent dans ses bas-fonds.
Mais Aria ne se souvient pas être tombée amoureuse de Thomas ; de fait : elle se réveille un matin avec de grandes zones d’ombres dans sa mémoire. Et elle ne parvient pas à comprendre pourquoi ses parents auraient accepter de s’unir aux Foster en premier lieu. Quand Aria rencontre Hunter, un rebelle et séduisant Mystique des bas-fonds, elle commence à retrouver des bribes de souvenirs, et comprend qu’il détient la clé de son passé. Les choix qu’elle sera amenée à faire sauveront ou condamneront la ville – et sa propre existence.
J'étais curieuse de découvrir ce premier tome, même en sachant que la suite ne serait pas publié en France. La couverture est très jolie, captivante et cette phrase 'Roméo et Juliette dans un New York futuriste hanté par une étrange mage' avait tout pour me plaire. Je ne suis pas une très grande fan de l'histoire de Roméo et Juliette, mais elle reste fascinante. Un cadre futuriste avec de la magie, je suis contente de l'avoir sorti de ma PAL.
Parce que clairement, c'est une belle déception. Je ne m'attendais pas à avoir un coup de coeur, mais j'aurais pu avoir une panne de lecture avec ce type d'histoire. Ou plutôt l'absence d'histoire. Tout était pourtant là, un New York futuriste, avec deux familles très engagées en politique avec de sombres secrets, une campagne électorale lancée, un mariage d'amour ou arrangé, une magie super intéressante (un gros coup de coeur pour la magie). Il se passe que peu de choses, ça tourne pas mal en rond, je suis certaine que l'auteur aurait pu écrire un seul tome avec les deux qu'il a écrit.
L'histoire se concentre sur Aria et sa perte de mémoire, elle doit alors démêler le vrai du faux et le moins que l'on puisse dire, c'est que le ridicule est au rendez-vous. Il y a tellement de "gentils" qui sont méchants, de méchants bien méchants et de "méchants" qui sont des gentils que je ne comprenais plus rien. Je finissais pas me demander si Aria était bien Aria, si ce gentil devenu méchant et redevenu gentil avant... bref, c'était un festival déconcertant. Sans oublier le fait que les protagonistes ne m'ont pas transportés dans leur monde, dans leurs émotions, je n'ai pas ressenti d'attachement particulier. La romance, c'était cousu de fil blanc depuis le départ, je n'ai pas eu de surprise.
L'univers était très captivant, bien décrit et aurait pu être davantage utilisé. J'ai adoré la magie, cette caste appelé Mystiques, ils sont géniaux et l'on se sent très proche d'eux, de leur combat. L'ambiance est également intéressante, sombre et mature. La plume de Theo Lawrence est sympathique, notamment dans les descriptions des lieux, des atmosphères, pour les explications sur son univers. Pour le reste, les répliques, les rebondissements ou encore le rythme, ce n'était pas de mon goût. En tout cas, les clichés et le manque de dynamisme ou d'intrigue accrocheuse auront eu raison de moi.
Endgame, Missions - intégrale de James FREY
Gallimard Jeunesse — 2017 — 475 pages — 19€
Je termine mon périple au coeur d'Endgame avec ce préquel. La trilogie était très intéressante, en raison de son univers, de son ambiance, de ses personnages inoubliables pour certains. J'étais très curieuse de lire ces petites nouvelles, une par Joueur et le résultat est à la hauteur de la série. La personnalité de chacun ressort véritablement au fil de la lecture et je suis heureuse de quitter la série sur cet opus.
Chaque nouvelle revient sur l'instant où les Joueurs vivent un moment clé. Un instant qui va bouleverser leur manière d'être ou les conforter dans la voie qu'ils empruntent. Des missions périlleuses, des futurs brisés, des choix mortels, des entraînements périlleux, chaque nouvelle offre son lot d'actions, de péripéties, de rythme haletant et de fins explosives ! Les émotions ne sont pas en reste, des amours contrariés, des coups de poignards dans le dos, des mensonges et des trahisons, Endgame c'est la parfaite référence de la maxime "La fin justifie les moyens".
De ce fait, on haït les personnages, on les aime, on en déteste beaucoup, on se méprend, on est dégoûté, on les encourage, on apprend à les comprendre. Ils n'ont rien d'ordinaire, ils le savent et ils en jouent. Le ton est dit, ils sont impitoyables, mais pas dénués d'émotions, ils savent être touchant, s'interroger, douter, se questionner, même les pires d'entre eux. J'ai adoré certaines nouvelles plus que d'autres : Chiyoko, An Liu, Jago, Aisling, Shari ou encore Hilal. Il est facile de changer de nouvelle, chaque personnage ayant son histoire, ses particularités et sa personnalité.
L'écriture est soignée, James Frey montre qu'il maîtrise sa saga, ses personnages, les rythmes, les révélations et les réflexions. Il développe une fois de plus des thèmes et des messages passionnants. Le futur de l'homme et de la planète, il interroge ses personnages sur l'amour, la famille, la filiation, l'identité ; la guerre, le dépassement de soi ou l'acceptation de soi, la quête de vérité. Les thèmes sont variés, les décors le sont également, on passe de l'Australie à l'Amérique latine en passant par l'Europe, le Japon, la Chine ou les Etats-Unis. On surfe d'une lignée à une autre en expliquant Endgame, le concept, l'origine, on se concentre davantage sur les Conseils, sur comment les Joueurs sont choisis selon les différentes lignées.
De ce fait, l'auteur ne livre pas seulement un préquel pour prolonger la vie de sa saga. Il offre d'un côté la possibilité de comprendre davantage les Joueurs, de voir ce qu'ils étaient avant ou durant l'entraînement. D'un autre côté, on en apprend davantage sur les lignées, le choix des Joueurs, la famille qu'ils ont ou ont eu. Ce n'est pas un préquel vide, chaque nouvelle donne de petites informations précieuses sur l'univers ou les protagonistes.
Endgame, Missions - intégrale de James FREY
Gallimard Jeunesse — 2017 — 475 pages — 19€
Tout a commencé avant l'appel d'Endgame. Plongez au cœur de la vie des héros et des secrets de leur entrainement. Marcus doit choisir entre l'amitié et son destin. Chiyoko lutte pour rester la Joueuse de sa lignée. Kala apprend le prix de l'amour. Alice comprend pourquoi elle se bat. Hilal découvre qu'il y a plusieurs façons de sauver le monde. Aisling suivra-t-elle la voie de son père, le Joueur rebelle ? La pacifique Shari sera-t-elle assez forte pour défier les traditions ? Pourquoi Maccabee est-il un Joueur impitoyable ? Quelqu'un veille dans l'ombre sur Jago mais est-ce pour son bien ? Qui a changé An Liu en monstre ? Comment Sarah est-elle devenue Joueuse ? Onze joueurs, onze missions, rassemblées en un livre : découvrez le préquel de la trilogie Endgame. Endgame est une réalité. Engame a commencé. Il n y aura qu'un seul vainqueur.
Je termine mon périple au coeur d'Endgame avec ce préquel. La trilogie était très intéressante, en raison de son univers, de son ambiance, de ses personnages inoubliables pour certains. J'étais très curieuse de lire ces petites nouvelles, une par Joueur et le résultat est à la hauteur de la série. La personnalité de chacun ressort véritablement au fil de la lecture et je suis heureuse de quitter la série sur cet opus.
Chaque nouvelle revient sur l'instant où les Joueurs vivent un moment clé. Un instant qui va bouleverser leur manière d'être ou les conforter dans la voie qu'ils empruntent. Des missions périlleuses, des futurs brisés, des choix mortels, des entraînements périlleux, chaque nouvelle offre son lot d'actions, de péripéties, de rythme haletant et de fins explosives ! Les émotions ne sont pas en reste, des amours contrariés, des coups de poignards dans le dos, des mensonges et des trahisons, Endgame c'est la parfaite référence de la maxime "La fin justifie les moyens".
De ce fait, on haït les personnages, on les aime, on en déteste beaucoup, on se méprend, on est dégoûté, on les encourage, on apprend à les comprendre. Ils n'ont rien d'ordinaire, ils le savent et ils en jouent. Le ton est dit, ils sont impitoyables, mais pas dénués d'émotions, ils savent être touchant, s'interroger, douter, se questionner, même les pires d'entre eux. J'ai adoré certaines nouvelles plus que d'autres : Chiyoko, An Liu, Jago, Aisling, Shari ou encore Hilal. Il est facile de changer de nouvelle, chaque personnage ayant son histoire, ses particularités et sa personnalité.
L'écriture est soignée, James Frey montre qu'il maîtrise sa saga, ses personnages, les rythmes, les révélations et les réflexions. Il développe une fois de plus des thèmes et des messages passionnants. Le futur de l'homme et de la planète, il interroge ses personnages sur l'amour, la famille, la filiation, l'identité ; la guerre, le dépassement de soi ou l'acceptation de soi, la quête de vérité. Les thèmes sont variés, les décors le sont également, on passe de l'Australie à l'Amérique latine en passant par l'Europe, le Japon, la Chine ou les Etats-Unis. On surfe d'une lignée à une autre en expliquant Endgame, le concept, l'origine, on se concentre davantage sur les Conseils, sur comment les Joueurs sont choisis selon les différentes lignées.
De ce fait, l'auteur ne livre pas seulement un préquel pour prolonger la vie de sa saga. Il offre d'un côté la possibilité de comprendre davantage les Joueurs, de voir ce qu'ils étaient avant ou durant l'entraînement. D'un autre côté, on en apprend davantage sur les lignées, le choix des Joueurs, la famille qu'ils ont ou ont eu. Ce n'est pas un préquel vide, chaque nouvelle donne de petites informations précieuses sur l'univers ou les protagonistes.
Fahrenheit 451 de Ray BRADBURY
Gallimard (collection 1000 soleils) — 1977 — 160 pages
451 degrés Fahrenheit représentent la température à laquelle un livre s'enflamme et se consume. Dans cette société future où la lecture, source de questionnement et de réflexion, est considérée comme un acte antisocial, un corps spécial de pompiers est chargé de brûler tous les livres dont la détention est interdite pour le bien collectif. Montag, le pompier pyromane, se met pourtant à rêver d'un monde différent, qui ne bannirait pas la littérature et l'imaginaire au profit d'un bonheur immédiatement consommable.
Une très chouette découverte, c'est un texte qui est marquant, un classique de la science-fiction qui est glaçant et passionnant à décrypter. Je suis plus que ravie de l'avoir lu et j'ai hâte de pouvoir poursuivre mes lectures SF avec Fondation.
L'ambiance est totalement incroyable, c'est sombre, mature, un brin oppressant et violent. J'ai beaucoup aimé comment l'atmosphère se tend, devient lourde, le côté suspicion, chasse à l'homme est tellement captivant. J'étais à fond dans cette révélation de la part de Montag, cette course contre la montre, la guerre qui arrive doucement. L'auteur a véritablement soigné son ambiance et donne un caractère atypique à son histoire.
Cette dernière est glaçante. Un monde où les livres sont interdits, où l'Histoire est ré-écrite, où les pompiers n'éteignent plus les feux et instaurent des autodafés. Le monde de Montag est très sombre, le contrôle des masses se fait par une culture très formatée et où la lecture est vue comme un moyen de réfléchir, de se détourner des bonnes valeurs. Les sujets abordés sont forts, ils font bien évidemment réfléchir, m'impressionnent par leur modernité étonnante. J'ai beaucoup aimé l'aspect philosophique, réflexion, les citations au passé, aux autres oeuvres de la littérature. Le récit est court, mais il est dense et sait être prenant.
D'autant plus que Montag est assez intéressant comme personnage principal. Il n'est pas comme tous les autres, mais se fond tout de même dans la masse. C'est une sorte d'éveillé, il a conscience de certaines choses sans pour autant les comprendre, il lui manque l'analyse en vérité. Toutefois, sa quête de questionnement va l'amener à rencontrer divers protagonistes tout aussi sympathique à découvrir, comme Clarisse ou encore Faber. J'ai aimé l'évolution, le changement qui devient instable, l'énergie qui est bouillonnante et dissonante avant l'apaisement, la clarté. Clarisse est une jeune femme très chouette, un élément déclencheur à la fois naïf et si lucide sur son environnement.
En somme, c'est une histoire qui prend aux tripes, qui se savoure avec son texte précis, incisif et référencé, avec une plume soignée et forte qui amène à nous faire réfléchir. On peut tous être Montag et si la réalité dans laquelle il vit nous semble irréelle ou irréalisable aujourd'hui avec les réseaux sociaux, il y a tout de même certaines questions qui peuvent parfaitement se prêter à notre époque, à nos problématiques actuelles.
Le cercle littéraire des amateurs d'épluchures de patates de Mary Ann SHAFFER & Annie BARROWS
10/18 — 2011 — 411 pages
Janvier 1946. Londres se relève douloureusement des drames de la Seconde Guerre mondiale et Juliet, jeune écrivaine anglaise, est à la recherche du sujet de son prochain roman. Comment pourrait-elle imaginer que la lettre d'un inconnu, un natif de l'île de Guernesey, va le lui fournir ? Au fil de ses échanges avec son nouveau correspondant, Juliet pénètre son monde et celui de ses amis - un monde insoupçonné, délicieusement excentrique. Celui d'un club de lecture créé pendant la guerre pour échapper aux foudres d'une patrouille allemande un soir où, bravant le couvre-feu, ses membres venaient de déguster un cochon grillé (et une tourte aux épluchures de patates...) délices bien évidemment strictement prohibés par l'occupant. Jamais à court d'imagination, le Cercle littéraire des amateurs d'épluchures de patates déborde de charme, de drôlerie, de tendresse, d'humanité Juliet est conquise.
J'ai passé un excellent moment de lecture avec ce roman, à tel point que je suis impatiente de regarder le film dès que possible. C'est un roman très feel-good, doudou et plein de douceur, de charme ; idéal pour faire une pause. Je ne savais pas à quoi m'attendre, mais ce roman épistolaire est super passionnant.
L'histoire nous transporte après la seconde guerre mondiale, durant la reconstruction. L'heure est à la joie, mais aussi à la découverte des horreurs de la guerre, des camps, à comment panser ses blessures, goûter au bonheur. Ce roman touche des sujets très sombres, avec une belle justesse, ce qu'il faut pour nous sensibiliser, nous toucher. Sans sombrer dans le pathos, avec une jolie douceur, une sorte de baume réconfortant. Les lettres s'enchaînent, j'ai quasiment lu le roman d'une traite et l'addiction est totale.
Il faut dire qu'on s'attache très rapidement aux personnages. Juliet est tellement chouette, drôle et piquante, sensible, amoureuse des livres et de l'écriture, elle a piqué ma curiosité et a su m'attirer dans sa belle histoire. Elle a su grandir, évoluer grâce à ses échanges avec les habitants de Guernesey.
Les autres personnages sont géniaux, ils ne manquent pas de nous faire rire, de nous attendrir, ou au contraire, de nous agacer ! Les événements se déroulent sous nos yeux avec brio, je suis fan de l'atmosphère et de l'écriture fluide qu'ont les deux autrices. L'histoire apparaîtra probablement comme convenue en matière de romance, mais l'originalité de l'ensemble et l'attachement totale aux personnages rend le roman atypique. C'était une belle expérience.
20 comments
Contente de voir que tu as aimé Le cercle littéraire!♥ Ce roman est vraiment très beau! Comme toi j'ai super envie de voir le film :D
RépondreSupprimerSinon quant aux autres romans, je ne suis pas super tentée, sauf par Fahrenheit 451 qui est un classique que j'aimerais bien découvrir!
Merci pour ce retour, j'espère pouvoir voir le film sur le cercle littéraire, il a l'air top ! Je te souhaite une bonne lecture avec Fahrenheit 451 si tu tentes l'aventure :)
SupprimerQue des livres qui me tentent, même avec ta déception pour Mystic City... Depuis le temps qu'il est dans ma wish list d'ailleurs, va falloir que je craque :3 !
RépondreSupprimerUn chouette article, merciii :D
Je te souhaite de faire de belles découvertes et d'apprécier Mystic City :)
SupprimerChouette ces petits avis ! 😁
RépondreSupprimerJ'ai du lire "Farenheit" pour les cours et j'ai adoré, c'est un super bon livre 😉 Idem pour Le cercle littéraire des amateurs... (même si je ne l'ai pas lu dans le cadre scolaire, évidemment).
Contente que ces deux là t'ai plu !
Merci beaucoup ^^ J'aurais bien aimé étudier Fahrenheit 451, ça devait être super intéressant !
SupprimerQue d'avis hyper intéressants ! :-O
RépondreSupprimerje me souviens avoir lu la trilogie Endgame il y a tris ans. Je ne m'en souviens que vaguement car j'avais vraiment pas accroché, ça partait quand même un peu en tous sens sur la fin ^^'. Je ne savais pas qu'il préquel existait par contre - peut-être que les réponses que j'attendais s'y trouvent ?
Fahrenheit 451 me tente énormément : je cherche justement à lire plus de SF/dystopie, et le pitch de celui-ci a l'air énorme. Merci pour la piqûre de rappel, je l'avais oublié ;-)
De rien, ça me fait super plaisir et je te souhaite une très belle découverte avec Fahrenheit 451.
SupprimerEndgame, je garde un très bon souvenir de la trilogie, avec une fin très particulière je suis d'accord. Faudrait que je relise la série un de ces jours, en partant du préquel, peut-être que toutes les pièces s'assembleront ^^
Dommage pour Mystic City... Je garde un bon souvenir de ce premier tome, mais plus vraiment de détails de l'histoire en tête. La saga Endgame a l'air vraiment intéressante à lire ! Quant à Fahrenheit 451 et Le cercle littéraire des amateurs d'épluchures de patates, ce sont également des romans qui m'ont beaucoup plu :)
RépondreSupprimerMystic City est intéressant, mais mal exploité à mon goût pour me satisfaire... de plus la suite n'est jamais sortie en France... Je te souhaite une chouette découverte avec Endgame si tu tentes l'aventure :)
SupprimerJ'avais bien aimé Le cercle littéraire des amateurs d'épluchures de patates. Mystic City semblait pas mal sur le papier dommage que tu n'aies pas accroché :/
RépondreSupprimerAprès, y'a des personnes qui ont super accroché à Mystic City, donc s'il te tente, je ne peux que t'encourager à le découvrir.
SupprimerJe suis contente que tu as apprécié Le cercle littéraire, j'en garde de bons souvenirs !
RépondreSupprimerFahrenheit 451 et la saga Endgame me tente bien :)
Dommage pour Mystic City, c'est vrai que résumé comme ça le roman n'a pas l'air folichon o/
Oui, c'est super dommage pour Mystic City, il avait du potentiel et du très lourd à donner. Ma foi... en plus, la suite n'est jamais sortie en France, donc je ne regrette pas. Bonne découverte de Fahrenheit 451 et d'Endgame :)
SupprimerJ'avais également beaucoup aimé le Cercle Littéraire, contente que tu aies aimé ! Par contre petite préférence pour le livre, mais ce que j'aime beaucoup le côté épistolaire, qu'on perd forcément à l'image !
RépondreSupprimerFahrenheit 451 m'avait fortement marqué ! Je l'ai lu il y a un an et demi voire plus, mais j'ai encore des scènes très claires en tête !
Oui, l'aspect épistolaire disparaît dans les adaptations, je pense à Valmont ou aux Liaisons dangereuses... les deux films partent du roman de Choderlos de Laclos, effectivement, ce n'est plus le même truc. Fahrenheit 451 est super marquant, je suis entièrement d'accord.
SupprimerJ'adore la couverture de 451
RépondreSupprimerJ'attends énormément parler du Cercle littéraire. Au début il ne me tentait pas du tout mais je dois dire que tu as attisé ma curiosité !
Folio SF ils font toujours de magnifiques couvertures ^^ Pareil, le Cercle littéraire ne me branchait pas plus que ça, et finalement, c'est un bonne surprise :)
SupprimerJe ne sais pas quel problème j'ai eu avec le Cercle Littéraire mais il semble que j'ai été la seule à ne pas l'apprécier à sa juste valeur.
RépondreSupprimerFahrenheit 451 est un classique que j'aurai pu lire au collège si je l'avais bien voulu mais non. J'espère rattraper ça !
Je te souhaite une bonne découverte avec Fahrenheit 451 :)
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