Robin Williams : Mrs Doubtfire + Jumanji + Flubber
Réalisateur : Chris COLOMBUS
Compositeur : Howard SHORE
Date de sortie : 1993
Durée du film : 2 heures et 5 minutes
Genre (s) : Comédie
Compositeur : Howard SHORE
Date de sortie : 1993
Durée du film : 2 heures et 5 minutes
Genre (s) : Comédie
Casting :
Robin Williams – Sally Field – Pierce Brosnan – Mara Wilson – Matthew Lawrence – Lisa Jakub
Robin Williams – Sally Field – Pierce Brosnan – Mara Wilson – Matthew Lawrence – Lisa Jakub
Synopsis :
Privé, à la suite de son divorce, de ses trois enfants qu'il adore, Daniel Hillard, doubleur de dessins animés, met en oeuvre tous ses talents d'acteur et d'imitateur et se transforme en respectable gouvernante irlandaise. Lorsque Mme Doubtfire se présente dans la famille Hillard, elle est acceptée a l'unanimité.
Privé, à la suite de son divorce, de ses trois enfants qu'il adore, Daniel Hillard, doubleur de dessins animés, met en oeuvre tous ses talents d'acteur et d'imitateur et se transforme en respectable gouvernante irlandaise. Lorsque Mme Doubtfire se présente dans la famille Hillard, elle est acceptée a l'unanimité.
Mon avis :
Fantastique film, drôle et touchant, il a ce grain de folie avec une très belle histoire de famille, de l'amour d'un père pour ses enfants. Ce film rend vraiment hommage à l'immense talent dont était pourvu Robin Williams, la transformation physique comme ses changements de voix sont déroutants.
Ce film a beaucoup de moments cultes, de répliques à mourir de rire, j'ai beaucoup ri devant les quiproquos, la scène du dîner au restaurant, quand il chercher à se transformer en femme... Il est très riche en matière d'humour, mais il a aussi ce génie de parler d'un sujet très difficile, le divorce, ne plus voir ses enfants, de retrouver sa femme et ses enfants, c'était aussi super fort en émotions. Le film passe tout seul, c'est fluide, c'est divertissant et frais, un pur régal !
Suivre Daniel Hillard en Mme Doubtfire fut un grand moment, les scènes autour de cette transformation resteront en mémoire, l'histoire est bien menée, l'image est nette malgré que le film date maintenant. Le décor est bien planté, c'est contemporain, je suis fan de la maison des Hillard. Les objets sont soignés, la musique est absolument géniale, ce n'est pas un coup de cœur, mais elle accompagne à merveille les scènes du film. C'est un film culte dont je n'avais vu que des extraits et des morceaux, je suis plus que ravie d'avoir enfin pu le visionner en entier et en VO.
Parce qu'il mérite d'être vu en VO, rien que pour le travail que Robin Williams a fait sur les voix. C'est un super acteur, véritablement doué pour être aussi drôle que touchant, il est très bon rôle, il le fait à fond et avec brio. Les enfants sont trop adorables, j'ai apprécié la petite Nattie, trop chou ; j'adore la relation Stu-Daniel, vraiment très amusante, Stu (Stuart) est très amusant, bien sympathique, je n'avais pas de raison de le détester. Sally Field est dans son rôle de mère dépassée et trop travailleuse, j'ai adoré voir son évolution. Le casting est d'une grande force et totalement à l'aise dans leurs rôles, ce qui rend le film encore plus amusant à voir.
Réalisateur : Les MAYFIELD
Compositeur : Danny ELFMAN
Date de sortie : 1997
Genre (s) : Comédie
Durée du film : 1 heure et 33 minutes
Date de sortie : 1997
Genre (s) : Comédie
Durée du film : 1 heure et 33 minutes
Casting :
Robin Williams – Marcia Gay Harden – Christopher McDonald – Raymond J. Barry – Clancy Brown
Robin Williams – Marcia Gay Harden – Christopher McDonald – Raymond J. Barry – Clancy Brown
Synopsis :
Le professeur Brainard, qui enseigne la physique au collège de Medfield, est tellement absorbé par ses recherches qu'il a oublié par deux fois de se rendre à son propre mariage avec la douce Sara Jean Lawrence, proviseur du collège. La jeune femme lui accorde une troisième chance. Mais le jour de la noce, Brainard ne peut pas s'empêcher de tenter une nouvelle expérience dont le résultat s'avère explosif. Au milieu de son laboratoire en ruine, le professeur vient d'inventer une nouvelle source d'énergie indestructible qu'il baptise Flubber.
Mon avis :
Un film sympathique à voir une fois, pour se détendre et se changer les idées, mais malheureusement, pas un film exceptionnel et génial. Il n'est pas assez rythmé et dynamique pour que l'on reste éveillé durant le film. Cependant, il reste agréable et drôle, Robin Williams donne pas mal de charisme à l'ensemble.
L'histoire est simple, notre savant fou va inventer une substance qui va révolutionner la vie et sauver l'université où il est professeur. Quitte à oublier son mariage et perdre la femme qu'il aime. Toutefois, entre l'ami voleur d'idées et les malfrats en voulant à son invention, Philip va pouvoir s'amuser et rendre le sourire à Sara, entre deux ou trois problèmes. Flubber n'est fait qu'à sa tête ! L'intrigue est simple, l'heure et demie s'écoule rapidement, quelques longueurs, mais dans l'ensemble, l'histoire reste jolie. Elle n'est pas révolutionnaire ni inoubliable, elle se laisse facilement regarder.
Les décors et accessoires donnent une ambiance très recherche scientifique, savant fou et américain, une ambiance simple et souvent amusante. Le robot, Weebo, suivant le professeur est drôle et touchant, une petite merveille que j'ai adoré voir s'agiter un peu partout et tenter de réparer les choses, de sauver Flubber. La voiture volante est également sympathique à voir flotter grâce à cette pâte verte impressionnante. C'est que Flubber permet de faire tellement de choses, et la scène du mambo est splendide, une de mes préférées tant elle est amusante. Flubber est bien fait, modéliser et agréable à regarder, les effets spéciaux le concernant sont épatants. La bande originale est signée Danny Elfman, cela s'entend directement, les sonorités me rappellent Edward aux mains d'argent ou Charlie et la Chocolaterie. Ces musiques sont donc idéales pour ce genre de films.
Le casting est bon, les méchants sont machiavéliques, cupides et perfides, toutefois, leurs déboires nous amusent fortement, même s'ils sont stéréotypés. J'ai déjà évoqué mon admiration et ma sympathie pour Weebo et Flubber, mais je peux vous parler de Wilson Croft, un soi-disant ami, un voleur d'idée et de fiancée. C'est un drôle de personnage qui aurait gagné à être plus mis en relief dans sa perfidie, il est intéressant par moment. Sara Reynolds est géniale, l'interprète se glisse dans la peau d'une femme amoureuse et blessée, simple et touchante. Quant à Robin Williams, ce genre de protagoniste loufoque, distrait et humain lui va à merveille, il lui insuffle une bonhomie candide et un charme amusant. Philip Brainard est un bon savant fou, optimiste et volontaire, chaleureux et drôle.
Le professeur Brainard, qui enseigne la physique au collège de Medfield, est tellement absorbé par ses recherches qu'il a oublié par deux fois de se rendre à son propre mariage avec la douce Sara Jean Lawrence, proviseur du collège. La jeune femme lui accorde une troisième chance. Mais le jour de la noce, Brainard ne peut pas s'empêcher de tenter une nouvelle expérience dont le résultat s'avère explosif. Au milieu de son laboratoire en ruine, le professeur vient d'inventer une nouvelle source d'énergie indestructible qu'il baptise Flubber.
Mon avis :
Un film sympathique à voir une fois, pour se détendre et se changer les idées, mais malheureusement, pas un film exceptionnel et génial. Il n'est pas assez rythmé et dynamique pour que l'on reste éveillé durant le film. Cependant, il reste agréable et drôle, Robin Williams donne pas mal de charisme à l'ensemble.
L'histoire est simple, notre savant fou va inventer une substance qui va révolutionner la vie et sauver l'université où il est professeur. Quitte à oublier son mariage et perdre la femme qu'il aime. Toutefois, entre l'ami voleur d'idées et les malfrats en voulant à son invention, Philip va pouvoir s'amuser et rendre le sourire à Sara, entre deux ou trois problèmes. Flubber n'est fait qu'à sa tête ! L'intrigue est simple, l'heure et demie s'écoule rapidement, quelques longueurs, mais dans l'ensemble, l'histoire reste jolie. Elle n'est pas révolutionnaire ni inoubliable, elle se laisse facilement regarder.
Les décors et accessoires donnent une ambiance très recherche scientifique, savant fou et américain, une ambiance simple et souvent amusante. Le robot, Weebo, suivant le professeur est drôle et touchant, une petite merveille que j'ai adoré voir s'agiter un peu partout et tenter de réparer les choses, de sauver Flubber. La voiture volante est également sympathique à voir flotter grâce à cette pâte verte impressionnante. C'est que Flubber permet de faire tellement de choses, et la scène du mambo est splendide, une de mes préférées tant elle est amusante. Flubber est bien fait, modéliser et agréable à regarder, les effets spéciaux le concernant sont épatants. La bande originale est signée Danny Elfman, cela s'entend directement, les sonorités me rappellent Edward aux mains d'argent ou Charlie et la Chocolaterie. Ces musiques sont donc idéales pour ce genre de films.
Le casting est bon, les méchants sont machiavéliques, cupides et perfides, toutefois, leurs déboires nous amusent fortement, même s'ils sont stéréotypés. J'ai déjà évoqué mon admiration et ma sympathie pour Weebo et Flubber, mais je peux vous parler de Wilson Croft, un soi-disant ami, un voleur d'idée et de fiancée. C'est un drôle de personnage qui aurait gagné à être plus mis en relief dans sa perfidie, il est intéressant par moment. Sara Reynolds est géniale, l'interprète se glisse dans la peau d'une femme amoureuse et blessée, simple et touchante. Quant à Robin Williams, ce genre de protagoniste loufoque, distrait et humain lui va à merveille, il lui insuffle une bonhomie candide et un charme amusant. Philip Brainard est un bon savant fou, optimiste et volontaire, chaleureux et drôle.
Réalisateur : Joe JOHNSTON
Compositeur : James HORNER
Date de sortie : 1995
Durée du film : 1 heure et 44 minutes
Genre (s) : Aventure, Fantastique
Adaptation du livre Jumanji de Chris Van Allsburg sorti en 1982.
Adaptation du livre Jumanji de Chris Van Allsburg sorti en 1982.
Casting :
Robin Williams – Bradley Pierce – Kirsten Dunst – Jonathan Hyde – Bonnie Hunt – Adam Hann-Byrd – Laura Bell Bundy – Bebe Neuwirth – Alan Grier
Synopsis :
Lors d'une partie de Jumanji, un jeu très ancien, le jeune Alan est propulsé sous les yeux de son amie d'enfance, Sarah, dans un étrange pays. Il ne pourra s'en échapper que lorsqu'un autre joueur reprendra la partie et le libèrera.
Lors d'une partie de Jumanji, un jeu très ancien, le jeune Alan est propulsé sous les yeux de son amie d'enfance, Sarah, dans un étrange pays. Il ne pourra s'en échapper que lorsqu'un autre joueur reprendra la partie et le libèrera.
Mon avis :
Un formidable film d’aventure pour petits et grands qui se laisser regarder et revoir sans modération. Je le recommande vivement, car l’on ne s’ennuie pas une minute !
Le film s’ouvre sur deux enfants du XIX° siècle enterrant un jeu nommé Jumanji, apeurés visiblement par ce même jeu. A Brantford, en 1969, Alan Parrish se fait poursuivre par une bande d’enfants peu sympathiques. Trouvant refuge dans l’usine de chaussures de son père, il se fait réprimander par celui-ci, lui sommant d’agir comme un homme. Une fois passé à tabac, Alan se rend dans un chantier non loin de l’usine et y déniche Jumanji. Le soir même, après s’être disputé avec son père au sujet de son avenir, il décide de fuguer. Ses intentions sont interrompues par Sarah Whittle, une amie. Ils décident de jouer ensemble à Jumanji, mais Alan disparait dans le jeu et Sarah, effrayée, s’enfuit. Le film reprend en 1995, lorsque Judy et Peter Sheperd, orphelins depuis peu, pénètrent dans la maison Parrish avec leur tante Nora. Attirés par les tam-tams, ils repèrent Jumanji dans un grenier. A eux de poursuivre le jeu débuté en 1969 et de délivrer Alan de la jungle. A moins que la jungle envahisse Brantford ?
J’ai appris en réalisant cette chronique que Jumanji était tout d’abord un livre, par conséquent, je ne peux pas faire de comparaison entre les deux. Ca sera mieux. J’ai apprécié l’idée, le concept même du film qui consiste à transformer un simple jeu de société en arme mortelle. Effectivement, jouer à Jumanji n’est pas de tout repos, par conséquent, j’ai eu peu le temps de m’ennuyer. Je dois même avouer que je ne sais même plus combien de fois j’ai dû visionner le film tant il est génial.
Les effets spéciaux sont carrément super bien faits, les plantes, les animaux, les catastrophes amenés par le Jumanji, tout a été créé de toutes pièces, cela se voit peu. L’idée de voir la jungle de Jumanji se déplacer à Brantford était une très bonne idée, j’ai adoré cette succession d’énigmes et d’épreuves que nos quatre joueurs affrontent (Sarah, Alan, Judy et Peter).
Les personnages sont sympathiques et attachants, bien incarnés. Le point fort du film est aussi son excellent casting. Robin Williams joue un Alan Parrish malin et robuste face aux évènements du Jumanji, un brin sauvage, bien décidé à arrêter le jeu en terminant la partie. J’ai adoré ce personnage un peu fou et marqué par la dure vie qu’il a mené. L’acteur – un de mes préférés – est tellement brillant dans ce rôle ! Ensuite vient mon deuxième personnage préféré, celui de Sarah. Adulte, elle est juste drôle, parfois exaspérante, surtout au début, mais une fois lancée dans le jeu, elle devient une alliée mature et intelligente. L’actrice Bonnie Hunt est vraiment superbe, à l’aise dans le rôle, juste et présente.
Les enfants Sheperd. Peter est bien joué, malicieux et rusé, sympathique, j’ai adoré sa transformation physique méritée certes, mais tellement drôle. C’est un petit garçon attachant et tandem de choc qu’il forme avec sa sœur montre une certaine complicité avec l’actrice. Kirsten Dunst. Dès qu’on la voit, même petite, on sait que c’est elle. Elle a un visage, des yeux, une bouille qu’on n’oublie pas de sitôt ! Elle incarne une Judy pleine de ressource, menteuse, mais sympathique également.
Le dernier acteur est Jonathan Hyde, il incarne deux protagonistes dans le film. Celui du père d’Alan, un brin guindé, pas démonstratif. On le déteste plus ou moins, et son manque de démonstration d’affection le conduit à faire fuir Alan. Je trouve son changement à la fin, un peu radical, néanmoins, je suppose qu’il fallait qu’Alan brise la glace pour qu’il change. Le deuxième personnage qu’il joue, drôle et terrifiant à la fois, est celui de Van Pelt, le chasseur. On peine à le reconnaitre tant il est grimé, mais ce personnage est vraiment bien joué, si méchant… C’est vraiment un très bon acteur.
Les personnages de Bentley et de Nora sont moins présents, toutefois, ils sont tellement drôles, bien interprétés et on rit à leur dépens. Ils leur arrivent tellement de misères, qu’on apprécie le final autant pour eux deux, que pour nos quatre joueurs.
La musique est signée de James Horner à qui nous devons Titanic, Troie, Avatar… d’excellentes compositions ! Il en va de même pour celle de Jumanji que j’aime beaucoup, pleine de rythmes entrainants, de morceaux plus inquiétants et de passages plus tendres. C’est une vraie merveille à l’écoute et tellement sympathique à entendre en se remémorant les scènes auxquelles elles sont rattachées.
En conclusion, les effets spéciaux, la musique, le casting, le scénario, le concept… Tous les éléments sont réunis et sont savamment mélangés pour obtenir un film divertissant, drôle et touchant. C’est un film que tout le monde peut et doit regarder au moins une fois, car je le considère comme un monument de notre enfance.
Le film s’ouvre sur deux enfants du XIX° siècle enterrant un jeu nommé Jumanji, apeurés visiblement par ce même jeu. A Brantford, en 1969, Alan Parrish se fait poursuivre par une bande d’enfants peu sympathiques. Trouvant refuge dans l’usine de chaussures de son père, il se fait réprimander par celui-ci, lui sommant d’agir comme un homme. Une fois passé à tabac, Alan se rend dans un chantier non loin de l’usine et y déniche Jumanji. Le soir même, après s’être disputé avec son père au sujet de son avenir, il décide de fuguer. Ses intentions sont interrompues par Sarah Whittle, une amie. Ils décident de jouer ensemble à Jumanji, mais Alan disparait dans le jeu et Sarah, effrayée, s’enfuit. Le film reprend en 1995, lorsque Judy et Peter Sheperd, orphelins depuis peu, pénètrent dans la maison Parrish avec leur tante Nora. Attirés par les tam-tams, ils repèrent Jumanji dans un grenier. A eux de poursuivre le jeu débuté en 1969 et de délivrer Alan de la jungle. A moins que la jungle envahisse Brantford ?
J’ai appris en réalisant cette chronique que Jumanji était tout d’abord un livre, par conséquent, je ne peux pas faire de comparaison entre les deux. Ca sera mieux. J’ai apprécié l’idée, le concept même du film qui consiste à transformer un simple jeu de société en arme mortelle. Effectivement, jouer à Jumanji n’est pas de tout repos, par conséquent, j’ai eu peu le temps de m’ennuyer. Je dois même avouer que je ne sais même plus combien de fois j’ai dû visionner le film tant il est génial.
Les effets spéciaux sont carrément super bien faits, les plantes, les animaux, les catastrophes amenés par le Jumanji, tout a été créé de toutes pièces, cela se voit peu. L’idée de voir la jungle de Jumanji se déplacer à Brantford était une très bonne idée, j’ai adoré cette succession d’énigmes et d’épreuves que nos quatre joueurs affrontent (Sarah, Alan, Judy et Peter).
Les personnages sont sympathiques et attachants, bien incarnés. Le point fort du film est aussi son excellent casting. Robin Williams joue un Alan Parrish malin et robuste face aux évènements du Jumanji, un brin sauvage, bien décidé à arrêter le jeu en terminant la partie. J’ai adoré ce personnage un peu fou et marqué par la dure vie qu’il a mené. L’acteur – un de mes préférés – est tellement brillant dans ce rôle ! Ensuite vient mon deuxième personnage préféré, celui de Sarah. Adulte, elle est juste drôle, parfois exaspérante, surtout au début, mais une fois lancée dans le jeu, elle devient une alliée mature et intelligente. L’actrice Bonnie Hunt est vraiment superbe, à l’aise dans le rôle, juste et présente.
Les enfants Sheperd. Peter est bien joué, malicieux et rusé, sympathique, j’ai adoré sa transformation physique méritée certes, mais tellement drôle. C’est un petit garçon attachant et tandem de choc qu’il forme avec sa sœur montre une certaine complicité avec l’actrice. Kirsten Dunst. Dès qu’on la voit, même petite, on sait que c’est elle. Elle a un visage, des yeux, une bouille qu’on n’oublie pas de sitôt ! Elle incarne une Judy pleine de ressource, menteuse, mais sympathique également.
Le dernier acteur est Jonathan Hyde, il incarne deux protagonistes dans le film. Celui du père d’Alan, un brin guindé, pas démonstratif. On le déteste plus ou moins, et son manque de démonstration d’affection le conduit à faire fuir Alan. Je trouve son changement à la fin, un peu radical, néanmoins, je suppose qu’il fallait qu’Alan brise la glace pour qu’il change. Le deuxième personnage qu’il joue, drôle et terrifiant à la fois, est celui de Van Pelt, le chasseur. On peine à le reconnaitre tant il est grimé, mais ce personnage est vraiment bien joué, si méchant… C’est vraiment un très bon acteur.
Les personnages de Bentley et de Nora sont moins présents, toutefois, ils sont tellement drôles, bien interprétés et on rit à leur dépens. Ils leur arrivent tellement de misères, qu’on apprécie le final autant pour eux deux, que pour nos quatre joueurs.
La musique est signée de James Horner à qui nous devons Titanic, Troie, Avatar… d’excellentes compositions ! Il en va de même pour celle de Jumanji que j’aime beaucoup, pleine de rythmes entrainants, de morceaux plus inquiétants et de passages plus tendres. C’est une vraie merveille à l’écoute et tellement sympathique à entendre en se remémorant les scènes auxquelles elles sont rattachées.
En conclusion, les effets spéciaux, la musique, le casting, le scénario, le concept… Tous les éléments sont réunis et sont savamment mélangés pour obtenir un film divertissant, drôle et touchant. C’est un film que tout le monde peut et doit regarder au moins une fois, car je le considère comme un monument de notre enfance.
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